Théras et Arcaliana était dans la cabane souflante. Personne ne venait ici, car tout le monde disait qu'elle était hanté de plus gros et féroce dragons. Mais en vraie, Arcaliana fesait toujours fuire les dragons qui s'aventurait trop loin en fesant des gros grognement que tous aurait eu peur. Pendant que Théras mangeait, Arcaliana, elle, commencait à être fatiguer. Elle placa sa tête sur ses deux pattes avant, qui était croisé l'une sur l'autre, puis s'endormit. Théras la regardait avec amour. Il avait eu un tel choc d'amour en la voyant, pour la première fois, qu'il ne voulait plus quitter Arcaliana. Pendant qu'Arcaliana dormaitt, Théras alla mettre le *bol* de souris dans le coin où tout les souris était dans une cage. Personne n'avait jamais eu autant de souris dans un coin. Arcaliana se réveilla 2 heures après. Elle ne vit que Théras , au bord de la *cabane*, en train de regarder au loin. Arcaliana se leva et alla le voir. En arrivant vers lui, elle dit :
- Salut Théras. Que fais-tu ? Tu regarde dehors ? Mais quoi ?
Théras tourna la tête dans sa direction et la regarda d'un air d'amour véritable. Arcaliana sut qu'il attendait son réveil avec patience. Alors, Arcaliana dit :
- Ah, j'ai compris, tu attendait mon réveil... Tu m'aime, n'est-ce pas ?
Théras se surpris à penser qu'il voudrait toujours vivre dans une autre place qu'ici, vu que cette ville n'appartenait qu'aux dragons, et que les dragons était des petites oreilles trop fine et qui entendait tout... Ça avait été de même quand Aubérone était venu presque jusqu'en arrière de lui pour entendre ce que Théras er Arcaliana fesait. Il ne fallait jamais sous estimer les *gens*, en bref, de dragons. Jamais, dans un monde de dragons, on ne pouvait avoir une petite soirée seul... Théras avait une petie idée de la place qu'il voudrait emmener Arcaliana. C'était une place fantastique, malgré les dragons qui espionnait les autres dragons... Alors, Théras dit, à l'intention d'Arcaliana :
- Veux-tu que je t'emmenes à uneplace spécaile, Arcaliana ?
Arcaliana le regarda et dit :
- Mais bien sûr... Et c'est où c'est magnifique place...
Théras se dit que tout irait bien pour y aller demain matin, tôt... au lieu d'aller là-bas maintenant. Théras dit :
- C'est près d'ici. C'est le lac Trokay. Je t'y donne rendez-vous demain matin, à 5 heure du matin.
- D'accord, dit-elle d'une voix douce avec aour...